Sunday, January 11, 2009

Le stress, c'est le non-vivre

"Le divertissement est nécessaire à l'homme. J'ai connu des jeunes femmes très tendues entre leur travail, la maison, les enfants, les parents âgés parfois... C'est moi qui leur disais de filer au cinéma, ou à la montagne, à la campagne. Le divertissement est source d'équilibre. Mais tout est une question de mesure. Il existe des divertissements exagérés, inutiles, dangeureux. Pascal appelait cela des "superfluités". Des superfluités qui font perdre à l'homme, justement, le sens de sa vie. Alors, il tombe dans le stress. Le stress, je le dis souvent, c'est le non-vivre."

Soeur Emmanuelle, J'ai 100 ans et je voudrais vous dire..., chapitre "Que reste-t-il dans un monde complètement dépouillé? L'homme."

3 comments:

thomas said...

bien dit ca!

allez, temps d'aller surfer

Cedric said...

Veinard !
Moi je suis sous la pluie et le froid à Norwich... Mais l'Université est sympathique (c'est tout ce que j'ai vu pour l'instant, je suis arrivé hier).

Anonymous said...

coucou
voilà une bien belle citation que je vais m'empresser d'afficher tout à côté de mon écran, au boulot.
merci pour ce joli cadeau d'anniversaire ;-)
et merci pour ton message par ailleurs aussi !
bises
Frédérique